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lundi 26 septembre 2011

Biographie de Bassima


Bassima ou Basima est une chanteuse libanaise, elle est considéré comme l'une des plus importantes chanteuses arabes d'aujourd'hui.
Sa voix attirant et dépaysant lui a fait adopter un style de musique spécial et exceptionnel.

Sa musique se caractérise par un genre musical contemporain en mêlant le hit et les rythmes orientaux à séduire ses fans et son public , notamment avec ses tubes : ''Aini Yamo'' (2003) et ''Endi Soual'' (2001).

Bassima a travaillé avec de grands importants artistes de l' industrie de la musique arabe comme Marwan Khoury, Boudi Naoum, Tarek Madkour... et autres.
Son premier album ''Dawwabni Doub'' (1999) l'a écrite et composée avec le chanteur et le compositeur liban Marwan Khouri avec qui elle a enregistr é un duo sous le nom de ''Kasak Habibi'' et a réalisé ses précé dents albums ''Endi Soual'' et ''Einy Ya Mo''.

La chanson 'Ettalâ Fiyi'' composée par Marwan Khouri était destinée à être interpréter par Bassima, mais son absence maternelle a intercepté son apparition dans les lieux musicaux. De ce fait, Marwan Khouri a donné la berceuse à la chanteuse libanaise Carole Smaha.
Et donc, Bassima décide de cesser ses activités avec Marwan Khouri, mais elle s'est rendu compte qu'elle peut encore travailler avec lui.

Après la période d'absence, Bassima retourne avec son troisième opus ''Shou Rajaâk'' (2004).
Par la suite, elle rencontre le compositeur libanais Samir Sfeir et lance un nouvel album sous le nom de ''Shou A Bali '' (2005) diffusé sur toutes les cha înes radio et télé vision.

Bassima a pu conquérir un grand nombre de fans de tous les sexes ( jeunes filles et garçons) qui sont toujours en attente de ses nouveautés et ses nouveaux albums, particulièrement avec ses opus qui ont rencontr é un immense succès et ont fait fureur.
Et c'est grâce à son dernier album ''Helmi Tuyour'' (2008) que Bassima a arrivé au sommet de la gloire.
Elle a enregistré les vid éos clips de tous ses tubes très réussis.
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Biographie de Ishtar Alabina


Née le 10 Novembre 1968, en Israël, Eti Zach alias Ishtar Alabina est la fille d’un musicien marocain et d’une mère égyptienne. Ishtar Alabina est la petite fille de la chanteuse égyptienne Nora.

Le parcours professionnel d’Ishtar Alabina commence alors qu’elle n’a que 15 ans à peine. A l’âge de 20 ans, Ishtar Alabina voyage dans plusieurs pays du monde dont l’Australie et se produit dans les petits clubs locaux afin de financer elle-même ses déplacements. Alors qu’Ishtar Alabina passe en escale en France avant de rejoindre Israël, elle tombe amoureuse de l’hexagone et décide de s’y installer de façon permanente. Très vite, Ishtar Alabina se trouve du travail comme choriste pour de nombreux artistes connus tels que Julien Clerc, Tonton David ou encore le groupe Kaoma auquel on doit le tube « Lambada ».

C’est lors d’une de ses performances que le producteur Charles Ilgui remarque la voix impressionnante d’Ishtar Alabina et la présente au groupe « Los Ninõs de Sara ». Ishtar Alabina devient alors un des membres les plus importants du groupe qui produisent de la musique fusion de plusieurs cultures avec un son mélange d’arabe, espagnol, hébreu, français et gitan. Le public est conquit par ce « bouillon de culture » qui plait à tous les genres.

« Alabina », « Oley Ola », « Habibi de Mis Amores » font partie des plus grands succès d’Ishtar Alabina en compagnie des « Los Ninõs de Sara » et à cinq, ils remplissent l’Olympia de Paris, le Wolf Trap à Washington, Caesar’s à Las Vegas, Greek Theatre à Los Angeles ou encore Beacon Summerstage à Central Park, New York.

Ishtar Alabina a également enregistré une reprise de la chanson « Comme toi » du grand Jean-Jacques Goldman ainsi que « Yahad », un tube du chanteur israélien Kobi Peretz.

En 2009, Ishtar Alabina reçoit l’award de Diamant au Big Apple Music Awards qui s’est tenu à New Yo
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Biographie de Shadia


Fatma Kamal Shaker, aussi connue sous le nom de « Shadia » est née le 8 Février 1929, au Caire.

Très jeune, son père, qui repère en Shadia un talent rare, engage un professeur de chant particulier afin que ce dernier lui enseigne tout ce qu’il y a à savoir sur l’art de la musique.

Shadia se prend de passion pour la chanson et participe à des concours dans la capitale. Lors d’un concours qui rassemble plus de 300 candidats, Shadia éblouit le jury et remporte le premier prix haut la main. A partir de là, c’est une « success story » comme peu en connaissent jamais.

Chanteuse à la belle voix, certes, mais également jeune fille à la beauté renversante, Shadia se voit devenir l’égérie des producteurs et réalisateurs de l’époque qui la couvrent de propositions de rôles dans des films tous destinés au cinéma et d’une qualité qui n’a d’égal que le talent de Shadia.

Son premier rôle, Shadia le doit au réalisateur Helmy Rafla qui la découvre en premier. Il lui offre un rôle dans son film « El-Aql Fi Agaza» et à partir de là débute la carrière de Shadia sur le grand écran où elle paraitra dans quelques 117 productions. On retiendra notamment «Sahibat el malilim » auprès de l’artiste Mohamed Fawzi en 1949, «Al-hawa maluush dawa » en 1952, « Dalila » en 1956, « Elf laila wa laila » en 1964 ou encore « Maaboudat Al Jamahir » en 1967 avec le grand Abdelhalim Hafez et bien d’autres.

Shadia, qui passe la plus grande partie de son temps sur les plateaux de tournage, devient bientôt productrice. Cet accomplissement, Shadia le présente comme un pied-de-nez aux détracteurs qui persistent à la voir comme une simple poupée de porcelaine qui chante. Sous sa direction, Shadia produit deux films « Layla Min Oumoury » et « Shataa Adhikrayat »

Bien qu’elle ait joué dans plusieurs films au cours de sa carrière, Shadia a fortement marqué les esprits avec son rôle dans le film « Al Maraa Al Majhoula » en 1959 qui, non seulement connut un succès immense dans le monde arabe mais fut même projeté aussi loin que dans les salles de cinéma de l’ancien URSS. Le dernier long métrage de Shadia est le film « La Tas'alni Man Ana » après lequel l’artiste prit sa retraite vers le milieu des années 80.

Actrice de talent qu’une riche filmographie honore, Shadia n’en demeure pas moins une chanteuse à la voix incomparable.

Surnommée « Sawto Masr », la voix de l’Egypte a à son actif une discographie tout aussi impressionnante qui inclut des chansons inoubliables à l’image de « Asmarani Loun », « Boussato Al Kamar », « Ala Achi Lhob », « Ya salam 3ala 7obi w 7obak » avec Farid El Atrache, « Fares Ahlami », ou encore « Ya Habibi Aoud Li » et « Ya Albi Sibak Min lhob ».
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Biographie de Hospital Underground


4 rappeurs se sont réunis en 2005 à Casablanca pour créer un groupe de rap sous le nom original de « Hospital Underground ». Leurs principales influences sont Mob Depp, MOP, NAS et Mos Def. Le groupe a déjà produit en 2006 un maxi 7 titres intitulés « Matkhafsh 3lina ».
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Biographie de Razan Moghrabi


Razan Moghrabi a acquis la célébrité dont jouit actuellement sa carrière grâce à la télévision en temps que présentatrice de la célèbre émission « Pops and Tops ».

Cependant, avant d’être l’hôte de l’émission la plus en vogue de la télévision libanaise qui a accueilli les plus grands noms de ce monde tel que Bill Clinton, La Reine Rania de Jordanie, Colin Powell ainsi que des stars de la chanson à l’instar de Justin Timberlake, Keanu Reeves, Lionel Richie, Shakira, Will Smith, Ricky Martin, Pink, Sting, etc… Razan Moghrabi voulait pendant longtemps être chorégraphe. Soutenue par sa mère, Razan Moghrabi se fait engager comme présentatrice de l’émission « Leila Maftouha » sur Future Television alors qu’elle n’a que 16 ans.

Véritablement impressionnée par le travail que Razan fait sur l’émission durant plus de trois ans, la chaîne MBC lui offre un poste permanant de présentatrice et l’envoie à Londres afin de représenter ses émissions internationales. Razan Moghrabi animera plusieurs émissions tantôt de mode, tantôt de cinéma ou autres et finalement se verra offrir le plateau de « Pops and Tops » où sa popularité atteindra des sommets.

Razan Moghrabi est la toute première présentatrice arabe à avoir eu le privilège d’animer le célèbre World Music Awards, durant lequel elle a remis les prix de meilleurs artistes orientaux à Amr Diab, Cheb Mami, Nancy Ajram et Samira Said.

Après avoir eu l’honneur de rencontrer et d’interviewer tant de célébrités de la musique arabe et internationale, il était donc presque naturel que Razan Moghrabi ait eu envie de s’essayer à la chanson, elle aussi. Sa discographie inclut les titres « Dahk wLa3b », « Law Hobi Da », « Enta Ba2a » et « Maktoubli Hawak », tirés de son premier album prometteur « Razan Volume 1 ».

Actrice aussi, son public la retrouve dans les films « Harb Italia » et « Hassan Tayara » ainsi que dans les deux séries « 3ada El Nahar » et « Il Amel 1001 ».

Razan Moghrabi est la représentante officielle du Ruban Rouge, organisation contre le SIDA dans le Moyen-Orient. Et en temps que véritable businesswoman, Razan a mis en vente deux parfums « Raz de Razan » et « Like a Kiss » qui sont très populaires dans le monde arabe.
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Biographie de Shabka


Shabka, un groupe qui se compose de 5 jeunes Marocains âgés de 21 à 23 ans de la ville Fès (Otmane, Mehdi, Abdelmjid, Simo et Kamal), a été créé en 2000 avec pour but principal s’épanouir dans la musique, plus spécialement dans le hip-hop. Comme la plupart des groupes de rap au Maroc, les débuts de Shabka étaient très difficiles (pas de local pour les répétitions, pas d’instrumentales et pas de studio d’'enregistrement). Après une certaine période nécessaire pour que le groupe trouve sa voie dans le monde de la musique, Shabka maintenant travaille avec des instrumentales composés par eux-mêmes (Le vocaliste du groupe M-jad est le compositeur du groupe) et enregistre dans un studio à Fès.

Les textes du groupe sont largement inspirés de la rue, avec des sujets qui touchent la jeunesse marocaine et reflètent leur vie quotidienne.

Shabka a participé à plusieurs concerts et événements. Le premier concert a eu lieu en 2000. Le groupe a enregistré son premier un album (le cri) en 2003 avec XL Production, puid une Maxi appelée B.A.F (LA Bande A fez) en 2004 et une autre maxi en 2006 sous le nom de « The Shabka Show ». Actuellement, le groupe enregistre un album dont la sortie est prévu pour la fin de l’année. Shabka Show est le gagnant du 2ème prix au Boulevard Des Jeunes Musiciens 2006, catégorie hip-hop.

Les membres de Shabka sont spécialement influencés par le style Gangsta-rap, ce style créé par DR-DRE, et développé par le fameux 50cent & G-Unit. Le vocaliste du groupe M-jad (Compositeur des instrumentales) s’inspire de la légende du R&B, R-Kelly et d’autres artistes. Pour Le Raggaman du groupe Gistaman, il est influencé par la légende Bob Marley et le célèbre Jamaïcain Sean paul…

Interview

Parlez-nous un peu de votre groupe ? Pourquoi Shabka ?

Shabka est un groupe de 5 jeunes musiciens de Fès âgés de 21 à 23 ans (Otmane, Mehdi, Abdel Mjid , Simo et Kamal). Le groupe a vu le jour en 2000 et a choisi la musique hip-hop comme moyen d’expression. Pourquoi Shabka ? Tout simplement parce qu’il rassemble tous les critères qui caractérisent notre vie et notre société marocaine.

Comment avez-vous fait vos débuts dans la chanson ?

Le premier pas est toujours le plus difficile, surtout dans le domaine la musique alternative qui, en 2000, n’était pas bien acceptée ni par nos parents ni par notre entourage. Heureusement, il y avait toujours quelques rares personnes qui nous soutenaient et appréciaient notre musique à cette époque. Il a fallu qu’on fasse toutes les choses par nous même, de la composition musicale jusqu'à l’enregistrement et la promotion d’albums. Aujourd’hui, on ambitionne de lancer notre propre label et studio qui seront fins prêts d’ici un mois.

Quel est votre style musical ? Quels thèmes traitez-vous dans vos chansons ?

Hip-Hop en premier lieu, mais, avec la présence d’un vocaliste influencée par le R&B et d’un raggaman à la jamaïcaine, ça donne une fusion de styles qu’on pense le public appréciera. Les textes parlent surtout du quotidien des jeunes et de la réalité de la société marocaine.
Dans le premier album, on traite de sujets politiquement chauds qui nous touchent particulièrement comme la crise en en Irak.
En ce qui concerne notre prochain album, à travers un style différent, on cible un public plus large. On y aborde des sujets plus légers tout en essayant de briser quelques tabous.

Parmi tous les groupes émergeants de la scène alternative marocaine, quels sont vos préférés ?

H-KAYNE , MASTA FLOW, K-libre et la liste est très longue

Vous avez été vainqueurs du Boulevard des jeunes musiciens 2006, quel impact sur votre carrière ?

Cette victoire n’est que le début d’un parcours qu’on espère long inchallah. Le Boulevard, nous a ouvert les portes d’un très large public.

Quid de votre agenda 2007 ?

Il y a d’abord le concert avec Hoba Hoba Spirit le 12 mai au Théâtre Mohamed V de Rabat. Ensuite, le passage au Boulevard en tant qu’invité et le festival d’Essaouira en plus de plusieurs concerts à Fez.

Des projets pour l'avenir ?

On travaille actuellement sur notre 1er album qui sera intitulé « lkhoubze l7affi » (extrait du livre de Mohamed Choukri) après 3 maxis. On est également en cours de préparation de notre première vidéo et d’un single qui s’appelle W7dani7.

Le mot de la fin

Saynouna ra 7na jayine, et merci pour l’équipe de hibamusic.com qui aide cette jeunesse musicale à faire sa place au Maroc.
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Biographie de Karem Mahmoud


Karem Mahmoud est un chanteur et acteur égyptien, il est né le 16 mars 1922 à la ville de Damanhur.

Enfant, Karem Mahmoud accompagne toujours son frère aîné Mohammed au cours du chant religieux, ce qui a développé ses capacités vocales en apprenant la prononciation phonétique.
Après, il s'est imprégné par les célèbres artistes de la musique classique tels que Sayid Darwish et Mohamed Abdelwahab, il a même pu maîtriser l'interprétation de leurs chansons malgrè son jeune âge et les difficultés de leurs notes.

Karem Mahmoud a été admis à l'institut de musique arabe au Caire en dépit de sa juvénilité.
Grâce à ses capacités vocales fortes et graves, il a été plébiscité par de plus grands maîtres de la musique égyptienne comme : le cheikh Badawi, Fouad Mahfouz,oudist Hassan Gharib, compositeur Safar Ali et Darwish el-Hariri.

Le diplôme de l'institut en main, Karem Mahmoud devient une vedette en tant que chanteur, il est surnommé "la mélodie Knight" acquiert une grande célébrité dans le monde arabe.
Parmi ses succès musicaux : Mahla Eddahabia (première chanson), Betqouli lih tinsa Wedadi, Kilma Wahda, .Amana Aleek, El Habayeb, Fi Bahr Elshouq, Ya Sanei ElMarouf, Zekrayati, Nour Elhawa, Ya Helo... diffusés sur la radio et la télévision.

En tant qu'acteur, Karem Mahmoud a tourné plusieurs films comme : Nesf El Leil, Leilet Gharam, Shade yet El Wady, Maleket El Gamal, Nor Oyouni, Lessanak Hossanek, Malesh Ya Zahr.....
A noter que Karem Mahmoud a réalisé des travaux pour l'opéra égyptien en interprétant : AlAshra El Tayiba, Al Barouka, Hidiyat Al Omar, Lila Min Alf Lila et Al Biraq El Nabawi.

Karem Mahmoud est décédé le 15 janvier 1995 à l'hôpital Saint Mary à Londres.
Il est à metionner qu'il est marié et père de deux enfants.
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Biographie de Moulay Ahmed Loukili


Moulay Ahmed Loukili est un musicien et chanteur marocain, il né à Fès en 1909.

Initié à la musique par son père, Moulay Ahmed Loukili intégre la mosquée universitaire Quaraouiyine où il a apprit à jouer au Oud et étudie les san'a.

Apprécié par ses maîtres Al-Brihi et Al-Mtiri, Moulay Ahmed Loukili devient membre à l'orchestre Al-Brihi à Fès en 1936.
Après quelques temps, il arrive à Tanger où il monte l'association Ikhwan al-fan (frères de l'art) qui a connu un succès.

A Tétouan, Moulay Ahmed Loukili enseigne au conservatoire en se formant plus dans le répertoire des san'a inhérent aux styles de Tétouan et de Chefchaouen.
Moulay Ahmed Loukili est nommé chef de l'orchestre de la radio en 1952, poste qu'il occupe jusq'à son décés.

La musique de Moulay Ahmed Loukili est basé sur le mètre poétique : Dawr en l'harmonisant avec les taratins (Syllabes complétant le dawr). En outre, il a pu reproduire le mètre et certaines règles mélodiques constituant les san'a.

Grand maître de la musique arabo-andalouse, Moulay Ahmed Loukili est mort en 1988.
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Biographie de Karima Skalli


Karima Skalli… une voix…
et la féérie d'un talent!

La finesse n'a nullement d'adresse sinon parmi les élus de l'art, des élus dont une voix qui ensorcèle tant par son timbre velouté que par la délicatesse qui en émane… la voix de la cantatrice marocaine Karima Skalli.

Cette diva de la chanson marocaine a réussi à s'infiltrer, doucement mais bien fortement, dans un espace artistique arabe semblable à un champ de mines aussi bien par les difficultés à s'y infiltrer que par les "bombes" qui le sillonnent ça et là.

Et pourtant, voilà qu'elle s'y trouve maîtresse des lieux, s'imposant par sa voix sensuelle et la pertinence de ses choix creusant dans la mémoire belle et émotive de la chanson arabe classique, avec une pensée spéciale pour la chanteuse Asmahan dont l'artiste tient vraiment le secret de la voix.

Karima Skalli a grandi parmi les notes de la musique andalouse et du melhoune, un avantage qui a eu le grand impact sur ses choix musicaux et qui a, surtout, forgé sa personnalité artistique des plus belles manières. Et le fruit est cette grande voix marocaine qui dicte son style avec certitude et qui continue à luire de mille feux dans l'espace artistique arabe.

Karima Skalli est devenue, grâce à sa force artistique, l'habituée des grands festivals de musique au niveau international, des festivals comme le Festival et Congrès de la Musique Arabe à l'opéra du Caire dont elle est l'invitée annuelle. Un bien bel hommage à une qualité artistique très haute.
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jeudi 15 septembre 2011

Biographie de Aminoffice


Étrangement apparent, le HIP HOP au Maroc, et surtout à la fin des années 80 et début 90, était un élément d’accroche pour un nombre important de jeunes, un nouveau son, une nouvelle voix sans panneau d’indication et pour d’autres une identification.

A Salé, la danse et le break sont les premiers signes d’infections du virus HIP HOP que ce soit dans le milieu rural, à Tabriket, El mellah, Hay essalam, Hay errahma, Sidi Moussa … ou les banlieues aux quartiers étroits, il y a eu une explosion alternative du mouvement hip hop. Des platines des Dj’s aux jeunes des Houmates (Quartiers), des Drouba (Ruelles), des places marbrées des administrations et les espaces verts, aux pistes des Discothèques, c’était la belle époque, la Old School du BBoy marocain.

Peu d’années après, le deuxième Virus est relâché, le RAP. Cette fois ce n’est pas avec une danse qu’on s’exprime, mais avec des paroles. En 1993, le premier stylo infecté est celui d’Aminoffice qui a écrit le mot Existence, premier morceau des Dragons Blancs, avec Bousselham alias « Taj-Kul-B » considéré au coeur de l’histoire du rap comme étant l’unique et seul Rappeur Marocain qui a réalisé avec Aminoffice les fondations des Mc’s Marocains pendant les 4 premières années.

Les Dragons Blancs étaient alors le premier Groupe de rap qui est passé à l’émission musiqua, présentée par Jaqueline Alioli. C’est à travers ça et quelques petits événements que leur parcours a commencé, et faire entendre leurs voix était l’occupation principale, surtout que le rap aux yeux des medias et de l’entourage professionnel musical Marocain, était considéré comme un intrus.

Après qu’un quatrième membre ai rejoin le groupe, Ahmad « Dj HMD actuellement » Les Dragons ont commencé a organiser des spectacles et des soirées dans la discothèque Amnésia entre 94 et 96. L’année suivante Taj-Kul-B quitte le Groupe, ce qui a provoqué la création des Double A, premier Groupe de rap au Maroc qui a eu l’opportunité de se lancer sur le marché musical marocain. Grâce à Adouaa Al Madina, ils lancent alors deux albums en 96/97, puis un troisième en 98 qu’avec aminoffice en solo, c'est depuis qu’il a changé de tactique en adoptant une nouvelle stratégie de camps. Trois ans dans l'ombre entre bloc papiers et sons, plus pour améliorer l'écriture que pour adopter un nouveau flow car on gardant son timbre sérieux avec sa voix posée il est devenu unique en son genre sur la liste des rappeurs Marocains.

Puis il réapparaît en 2001 où le hip hop au Maroc était en période de fécondation , naissance de Groupes, Spectacles, sous un cadre bien modeste, mais pas pour autant faire bouger les maisons de disc qui ne croient absolument pas au rap plus qu'aux talents des jeunes.

Depuis son installation en France, il espère toujours de loin physiquement et proche moralement, revoir un jour mieux qu'hier, sans être obliger de s'exiler à l'étranger pour tous simplement et bêtement chanter, pas pour un voyage d'artiste perdu, mais un voyage de culture différente vers un pays différent.

"Puisque le rap m'a appris à ne pas me taire, je parlerais donc à la Marocaine même à l'autre bout du monde" Aminoffice
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Biographie de Medhat Saleh


Mohammed Mahmoud Saleh Wahba, plus connu sous le nom de Medhat Saleh est un chanteur égyptien, né un 2 Novembre. Marié, il est le père d’une fille nommée Haniya et d’un garçon, Adam.

Détenteur d’un diplôme en Histoire de la prestigieuse université Al Azhar, Medhat Saleh s’est fait connaître sur la scène musicale égyptienne dans les années 80 en revisitant les chansons d’ Abdelhalim Hafez et Mohamed Qandil avant de faire connaître ses propres chansons au public avec un premier album titré « Zay Ma Kalou Ainik ». Au milieu des années 80, lors d’un festival en Turquie , Medhat Saleh obtient le prix Golden Apple.

Chanteur, certes, mais aussi acteur , Medhat Saleh s’adonne aux productions télé et au théâtre, se faisant une réputation du plus acteur des chanteurs . Parmi les plus célèbres productions auxquelles il a participé, on retiendra « Koursi Fil Club », « E7na Wlad Ennaharda », « El 7oub fi zourouf sa3ba », la série « Perils and Shells » avec Mostapha Fahmi et « Taraeio » aux côtés de Mohamed Hinidi.

Néanmoins, chanteur d’abord, Medhat Saleh n’a jamais privé son public de sa voix bien longtemps et au cours de sa carrière il a enregistr é plusieurs albums dont « Essahra Te7la », « Wa3di », « Nismaya », « Elmiyounirat » ou encore « 3asheq Majnoun », « Zay El 9amar », « 7atkalim » et bien d’ autres encore.
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Biographie de Ghada Ragab


De son vrai nom Ghada Reda Ragab, Ghada Ragab est la fille du violoniste réputé Reda Ragab qui est aussi à la tête du conservatoire supérieur de musique arabe.

C’est le journaliste et écrivain Ahmed Younes qui découvre Ghada Ragab alors qu’elle n’a que 6 ans lors d’un festival alors qu’elle chante « Al Qam7 Elayla ». A la suite de cette toute première performance, son père l’emmène dans divers festivals et fêtes musicales et ensuite sur les plateaux télé d’émissions de musique où Ghada Ragab interprète avec brio le répertoire des plus grands de la chanson arabe : « Ya Habib Arou7 », « La Takdibi », « Anssak », « Aydan »…

Jamal Salama lui offre un rôle dans l’opérette « 7arass Al Watan » écrite par le poète Abderrahmane Al Abnoudi.

Ghada Ragab participe au Festival de Musique en 1997 en Jordanie, au cours duquel plus de 17 autres pays s’opposent pour le premier prix. Ghada Ragab finit par décrocher le micro d’or, premier prix du Festival pour sa prestation sur « Naachaqo L7ayat ».

Le public retrouve Ghada Ragab dans une nouvelle opérette « Bayt Al Arab » et de nouveau au deuxième Festival de la chanson en Turquie durant lequel Ghada Ragab chante « Jawaz Safar » sur une mélodie turque. Une interprétation qui lui valut un prix spécial.

Le poème « Limadha » fait aussi partie du répertoire de la talentueuse Ghada Ragab.
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Biographie de Souad Hosni


Souad Hosni (26 janvier 1942 - 21 juin 2001) était une célèbre actrice et chanteuse égyptienne, surnommée « Cendrillon de l'écran arabe ». De son vrai nom 'Souad Mohamed Hosni El Baba', Souad Hosni est née à Fayal au début des années 40. Elle est la demi-sœur de Najat Essaghira.
Très jeune, les parents de Souad Hosni se séparent et sa mère l'emmène avec elle à Chobra, où elle se remarie et fonde une nouvelle famille. Désireuse de devenir chanteuse depuis sa plus tendre enfance, Souad Hosni ne tarde pas à se distinguer lors d'une émission radio pour enfants au cours de laquelle elle interprète une composition écrite à son encontre. Les paroles de la chanson semblent alors prémonitoires car Souad Hosni, encore inconsciente du succès qui l'attend, chante « Je suis Souad, la sœur de la lune, parmi les gens ma beauté est célèbre… ».

Néanmoins, dès l'âge de 15 ans, ce ne sont pas les concerts qu'elle enchaine mais bien les films. Henri Barakat dirige Souad Hosni pour son tout premier long métrage « Hassan et Naïma » en 1959. Véritable image de beauté et de modernisme, Souad Honsi a joué dans plus de 90 films au cours de sa carrière. On citera notamment « Banat waal saif » en 1960, « Laylat zafaf » en 1966, « Al Zawga Al Saniya » en 1967 pour lequel elle obtient un prix que lui attribue le ministère de la culture égyptienne, « Al Ikhtiyar » 1971, « Ghouraba » en 1973 ou encore « Alkadissia » en 1982, la série télé « Huwa wa Hiyya » en 1985 et beaucoup d'autres.

Au cours de sa carrière d'actrice étoile, Souad Hosni a incarné tour à tour la fille, la sœur, la mère, l'amante avec un talent sans pareil, une beauté envoutante et un glamour qui captivèrent tous les égyptiens durant un peu plus de trente ans.

Retiré à Londres, le corps de Souad Hosni fut découvert en bas de son appartement au lendemain de sa mort. Suicide ou assassinat, la Cendrillon égyptienne était atteinte d'une maladie incurable depuis des années et souffrait de dépression.

Sa dépouille fut rapatriée en Egypte par un avion privé affrété par le président Hosni Moubarak pour des funérailles nationales dignes de la majesté d'une étoile du cinéma qui ne brillera plus.

Coïncidence étrange néanmoins, Souad Hosni est décédée un 21 Juin, date d'anniversaire du grand Abdelhalim Hafez avec lequel on l'avait soupçonnée de s'être mariée en cachette à une époque.
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Biographie de Azar Habib


Azar Habib est un chanteur libanais, Azar Habib est né le 28 novembre 1945 à Marj oyoun au Liban.
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Biographie de Style Souss


Comme leur nom l'indique, les quatre MC de Style Souss viennent d'Agadir et portent haut l'étendard deleur culture berbère. “J'ai la rage de défendre ma fierté”... Ils zappent sans difficulté entre trois langues : soussi, arabe, français, et n'hésitent pas à puiser dans les musiques traditionnelles locales pour construire leurs instrumentaux. Sur place, ils ont participé à deux scènes importantes : le festival Timitar et le festival Tamazirt.

Comme on voix le nom du groupe , on a vite fait une impression d'ou ça Vien et de quelle ville aussi , alors ce groupe et former en 2003 lors d'un festival du hip hop international organiser par doss clan " Mc Dimeh & Dj Face " avec l'aide de Fat Man joe . après la participation de style souss dans ce festival , a l'époque style souss et former de tmoins et fat joe , après cette évènement , mc dimeh il déménage et il habite un peut près de fat joe et puis mc dimeh il est devenu membre du groupe , alors il sont fait pas malle de concert eux les trois et puis il sont mit un projet , le boulevard et a cette édition de la fol y'avais entre 60 et 80 demande de participation , il sont réussi a être sélectionner et après cette sélection et c'est la quand les deux autres membres son venus « dj face et driss david » et la l'histoire a commencer de style souss , et cette étais y'a un jeune rappeur qui viens d'être avec eux ces micro mjnon . mc dimeh a eux l'occasion de vivre en suisse mais ça n'empêche pas qu'il est plus dans le groupe et pour cella on vous propose des titres de style souss inédit a écouter
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Biographie de Shaaban Abdel Rahim


Shaaban Abdel Rahim est né le 15 Mars 1957 au Caire.

Pendant longtemps, Shaaban Abdel Rahim travaille dans une blanchisserie et subvient à ses besoins grâce à un salaire minime. Sa vie quotidienne est faite de concessions et de dur labeur.

Cependant, en 2000, sa vie prend un tournant radical lorsque Shaaban Abdel Rahim acquiert une grande popularité avec sa chanson controversée « Ana Bakrah Israel ». Beaucoup de gens furent surpris que ce titre, aux paroles antisémites ait passé la censure égyptienne. Plusieurs copies se vendent à un prix moindre sur le marché noir.

Shaaban Abdel Rahim est un homme né du peuple qui parle au peuple en langage du peuple et qui séduit grâce à son franc-parler et son audace qui flirte à peine avec l’indécence.

Ses textes s’inspirent du climat politique du moment. Ainsi, en 2001, juste après les attaques du 11 Septembre dirigées contre les Etats-Unis, Shaaban Abdel Rahim enregistre la chanson « Ya Amm Arabi ». En 2003, il témoigne de son outrage contre la prise de l’Iraq par les américains avec « Don’t Bomb Iraq » et en 2005, suivant l’actualité des caricatures concernant le Prophète Mohamed, Shaaban Abdel Rahim sort « We’re All Out of Patience ».

Shaaban Abdel Rahim est actuellement un des chanteurs qui font le plus sensation en Egypte et que le public égyptien n’hésite pas à soutenir en assistant à ses performances live en grand nombre.
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Biographie de Nazem Al Ghazali


Nazem Al Ghazali (1921 – 23 Octobre 1963) est un auteur/compositeur, acteur et chanteur iraquien qui compte parmi les voix illustres du pays. Il fut le mari de la chanteuse Salima Mourad.

C’est à l’institut des Beaux Arts de Bagdad que Nazem Al Ghazali débute son apprentissage qui commença en premier lieu par le métier d’acteur avant de se tourner finalement, et pour de bon, vers la chanson et étudier entre les mains de l’un des plus remarquables chanteurs de Maqam du siècle: Mohamed Al Qabbanchi. En 1948, Nazem Al Ghazali rejoint la Radio Iraquienne.

Durant son travail à la station, Nazem Al Ghazali rencontre le grand joueur d’Oud, Jamil Bashir avec qui il composera plusieurs œuvres indétrônables telles que « Fog El Nakhal » et « Marrou Alayya El Hilween ».

Ainsi commence la carrière de Nazem Al Ghazali qui s’acharnera à créer un répertoire tissé de chansons plus belles les unes que les autres et enregistrera même quelques Maqams. Des titres comme « Tala Min Beit Abuha », « Ayartni Bi Shaeb », « Marida », « Shlon » ou encore « Guli Ya Hilu, « Tusjbukh Al Kheir » et « Hayak Baba Hayak ».

Une œuvre musicale impressionnante délivrée au public aux delà des générations d’une voix douce et profonde qui exprimait autant de talent que de sentiments. Perdu trop tôt, Nazem Al Ghazali reste néanmoins bien présent dans la mémoire collective des mélomanes du monde.
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Biographie de Mais Shalash


Née le 7 Juin 1989 au Koweït, Mais Shalash a été élevée par ses parents dans le village de Ramallah, en Palestine en compagnie de ses deux frères.

A l’âge de 7 ans, Mais Shalash se prend de passion pour la chanson mais aussi pour la récitation du saint Coran. Elle décide de se faire la voix d’un peuple qui souffre au jour le jour et devenir une des porte- parole de la cause Palestinienne avec ses chansons aux textes engagés, aux mots puissants. Son premier album « 3ours El Watan » sort alors que Mais Shalash n’a que 11 ans et est bientôt suivi d’un deuxième opus intitulé « Sawt El Houriya » l’année suivante.

Mais Shalash a remporté plusieurs prix pour son talent indéniable et notamment celui du festival de l’enfant qui se déroulait au Caire et a été à l’affiche de nombreux autres événements du genre dans le monde arabe à part entière.

La discographie de Mais Shalash comprend également « Oustourat J’nine », « Ya Taiba », « Sotak Majrouh », « Laylat Alisraa », « Labaik Islam Albotola » et plus encore.
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Biographie de Nadia Benyoucef


Nadia Benyoucef (ou Nadia Ben Youssef ) est n ée en 1958 à Bad Djedid, à la Casbah d'Alger. Brillante interpréte, serait originaire des environs de Cherchell, eléve à El-Mossilia, mais abandonne ses études musicales.El-hane oua Chabab, l'émission de television consacrée aux jeunes talents, la révèle au public en 1973, alors qu'elle n'avait que 15 ans.Par le timbre chaud et fin de sa voix, Nadia Benyoucef introduit une note de fraîcheur dans l'interprétation du hawzi.Leytim lui servira de prélude avant le grand succès de Ya l'Mima, chanson qui lui a été spécialement composée par Rabah Driassa.
Sa collaboration avec deux compisiteurs confirmés, Mâati Bachir et Tahar Benhamed, ne lui apporte que des satisfactions : Yal Warda et El Khatem.

Ses duos avec Chaou (El Waldine et Kahwa ou Latey) et Kouffi (Yassadni et Lazem Tedbir) ne passeront pas inaperçus.Toutefois, la presque totalité de sa carrière reste marquée par deux personnalités : Mâati Bachir pour la composition (Aâmrat Dari, Lqit Lghzel, El Mouhami, etc.) et Saloua pour les conseils, elle quitte l'enseignement pour se consacrer à la musique et à son foyer.Questionnée sur ce qu'elle pense des partis politiques (en 1990), elle a répondu Mon parti à moi, c'est mon public et ma politique c'est la musique.Au mois de juin 1994, Nadia Benyoucef annonça brusquement son retrait définitif de la scene artistique, allant jusqu'à demander à la radio et à la télévision de cesser la diffusion de ses chansons.Nadia Benyoucef insistera sur le fait que les raisons de son retrait sont "volontaires et personnelles".Toutefois, Nadia Benyoucef reprendra le chant de manière discrète et s'installa à Marseille (1996).
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dimanche 4 septembre 2011

Biographie de Khaled Selim


Né au Kuwait le 6 Novembre 1968, Khaled Selim s’est, très jeune, intéressé à la musique de tous genres. C’est son père qui, observant son fils jouant sur son harmonica des chansons qu’il arrive à reproduire rien qu’en les écoutant, lui offre un piano afin de pouvoir exploiter ses talents artistiques davantage.

Alors qu’il est encore au lycée, Khaled Selim joue dans un groupe avec des camarades de classe et continue, ainsi, à développer son potentiel musical.

Dans le but de poursuivre des études universitaires, Khaled Selim part pour l’Egypte et s’installe au Caire. Rapidement, Khaled Selim rejoint le groupe de l’université où il étudie et pendant trois années consécutives, il fut sacré meilleur chanteur de toute l’université du Caire.

En 2000, sa rencontre avec Karim Kabbara lui vaut d’enregistrer son premier album « Alaam Tani ». Tarek El 3eryan, qui voit Khaled Selim en concert en 2001, lui propose de chanter trois titres de la musique du film « El Sellem We Te3ban ». Khaled Selim accepte sans hésiter et enregistre « 3eesh » dont sera fait un clip réalisé par El 3eryan, lui-même, « Ana Habit » et « Ba3tarif ».

Khaled Selim sort un second album « Wala Leila Wala Youm » en 2003. L’année suivante on retrouve l’artiste avec le single « Galat Ahebbak » suivi de près par « Khad El Gameel », une compilation qui inclut les chansons que Khaled Selim a enregistré pour les films « Kan Yom Hobak » et « Sana Oula Nassab ».

Les fans de Khaled devront attendre 2007 pour un troisième album intitulé « Ghayeb Aany » et trois autre années pour son album 2010 « This is me », qui fête les dix ans de carrière de Khaled Selim.

En temps qu’acteur, Khaled Selim a joué dans « Sana Oula Nassab » en 2003 puis « Kan Yom Hobak » en 2004 et enfin, en 2008 « Amaleyat Khasa » avec Mostafa Fahmy.

A la télé, la légendaire Warda le choisit personnellement pour lui donner la réplique dans « Ann El Awan ». Khaled Selim a chanté plusieurs des titres de la bande musicale du film dont « Mehtaglek », « Men Gheir Etab », « Ana Baladi Beya » et « Annaenya ».
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Biographie de Moharam Fouad


Né le 24 Juin 1934, au Caire , Moharam Fouad est un acteur et chanteur égyptien qui grandit au milieu de ses quatre frè res et ses quatre sœurs. A 4 ans déjà, Moharam Fouad chante et se trouve choisi par son é cole afin d’interpréter un solo pour le Roi Farouk.

Les débuts de Moharam Fouad sont à la fin des années 50 lorsqu’il décroche un rôle dans la célèbre histoire d’amour « Hassan et Naeima » aux côtés de nulle autre que celle qu’on surnommait « la cendrillon de l’écran », Souad Hosni.

Moharam Fouad poursuit sa carrière d’acteur dans plus d’une dizaine de productions telles que « Wolidtou Min Gadid », « Shabab Tayesh », « Ushaq al Haya », « Nisf Azraa » ou encore « Ettab », « El Malika wa Ana », « Salasel Min Harir » et « Lahn Al Saada »…

Passionné par le chant, Moharam Fouad s’est imposé dans le milieu de l’ industrie musicale par un style singulier et un caractère unique . Avec une discographie de plus de 900 chansons -dont 20 dédiées à la Palestine- Moharam Fouad s’est distingué grâce à son célèbre titre bestseller « Rimsh Enoh » auquel il doit ses millions de fans de part le monde et son surnom de « Son Du Nile ».

Souffrant de problèmes cardiaques, Moharam Fouad se faisait soigner en Europe . Malheureusement, quelques complications touchant ses reins ont eu raison de la santé de l’ artiste pendant de nombreuses années où Moharam Fouad n’a eu de cesse de se battre contre la maladie.

C’est finalement en 2002, trois jours après son 68ème anniversaire que Moharam Fouad s’éteint. Il laisse derrière lui un immense vide pour ses fans et un répertoire riche d’une voix incomparable et immortelle.

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Biographie de Rouwaida Attieh


Fille de Haydar et Najida Attieh, Rouwaida Attieh est née le 1er Juillet 1982 en Syrie.

Très jeune, Rouwaida Attieh se prend d’une fascination pour la cantatrice Oum Kalsoum et apprend sa chanson « Enta 3omry » alors qu’elle n’a que 5 ans. Son père qui la soutient, l’encourage à prendre des cours de musique et la jeune femme prend même des leçons d’Oud et rejoint plusieurs clubs de musique pour la préservation des chansons du folklore arabe.

Grâce à sa voix puissante et sa maîtrise parfaite de ce fabuleux instrument, Rouwaida Attieh arrive en finale de la première saison de l’émission « Super Star » en 2003 et perd contre Diana Karazon. L’année suivante, en Avril, Rouwaida lance son premier album « Min Nazra » dont est extraite la chanson du clip « Te3bt Ma3ak ». 2004 est l’année de la consécration pour Rouwaida Attieh qui décroche le prix tunisien de meilleure nouvelle artiste, elle décroche ensuite celui de meilleure chanteuse arabe qu’elle reçoit en 2005 avec son album « Khisamak Mur » suivi en 2007 de « Ma Tmalekny Eldny ».

2008 est une année prolifique pour Rouwaida Attieh qui revient sur la scène avec quatre hits « Hayti Melki », « Zourou Souria », « Ana Andi Lezzi » et « Ya Unis Alli El Rayih ». Elle collabore également avec le chanteur libanais Wadih El Safi sur « Hayda Lebnen » et « Sahra Alshark » au côté d’Assi El Helani.

Rouwaida Attieh s’est produite en concert en Algérie, au Liban, en Syrie ainsi qu’à Dubaï, Qatar et d’autres pays du monde arabe.
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Biographie de Mohamed Saad


Né le 14 Décembre 1968, Mohamed Saad Ahmad alias Mohamed Saad est un acteur égyptien.

C’est après avoir enchainé de petits rôles vers la fin des années 90 dans des productions telles que « Al Tareel Ela Elat », que Mohamed Saad se fait connaître du grand public pour son rôle dans la comédie « El Lembi » en 2002.

Sa carrière finalement lancée, Mohamed Saad joue dans « Ely Baly Balak » en 2003, « Oukal » en 2004 ou encore « Bouha » en 2005. Les personnages que Mohamed Saad interprète sont toujours dans la comédie, des personnages un peu niais limite idiots du village qui finissent par classer l’acteur dans la case des comiques.

Mohamed Saad est à l’affiche de « Katkout » en 2006 puis sur celle de « Karkar » l’année suivante suivie par « Boshkash » qui est également une comédie égyptienne. En 2010, Mohamed Saad tient le rôle principal dans le film « 8 Jija ».

Au théatre, Mohamed Saad a déjà joué dans « 9issato Al Hay Ashaabi », « Rad 9ardi », « Irhabi wa Talat » et d’autres.
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Biographie de Mohamed Hinidi


Mohamed Hinidi, né le 1er Février 1960 à Gizeh, est un acteur égyptien.

Diplômé du conservatoire de cinéma en 1991, Mohamed Hinidi débute sa carrière dans de petits rôles sur le grand écran et au théâtre et atteint finalement la consécration grâce à son rôle dans les comédies « Isma3iliya Rai7 Jay » en 1997 et « Sa3idi Fi Al Jami3a Al Amrikiya » en 1998 aux côtés de Ahmed El Sakka et Mona Zaki. Mohamed Hinidi a jusqu’à aujourd’hui une filmographie de plus de 20 productions cinématographiques dont « 3asskara Fi Al Mo3asskar » en 2003, « Amir Al Bi7ar » en 2009 ou encore « Jawazt Siniya » en 2010.

En plus du 7ème art, Mohammed Hinidi figure aussi dans de nombreux feuilletons télévisés à l’instar de « Nass wa Nass » et à l’affiche de multiples pièces théâtrales telles que « Afroutou » en 1999.

Comme beaucoup d’artistes depuis quelques années, Mohammed Hinidi a prêté sa voix à certaines productions animées connues telles que les versions égyptiennes de « Monsters Inc », « Les Simpsons », ou encore « Timon et Pumba » et « Le Roi Lion » de Disney.
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